Sophie Heulle
Vice-doyenne étudiante
L’engagement étudiant est quelque chose qui me tient particulièrement à cœur. Je trouve ça très enrichissant de pouvoir s’engager pour les autres et pour être dans un dialogue et un travail constant avec les équipes de la faculté.
Sophie Heulle a pris ses fonctions le 4 mai 2022 sur une proposition des étudiants et acceptée en conseil de faculté du 3 mai 2022. Elle répond à nos questions.
Quel est votre parcours ?
Je suis en 4e année d’orthophonie. Avant cela, j’ai effectué deux années de préparation aux examens d’aptitude pour entrer en orthophonie et obtenu une licence en sciences du langage.
J’ai pu, depuis mon entrée à Sorbonne Université, explorer le monde associatif de différentes manières. J’ai notamment effectué deux années au sein de l’APEO (Association Parisienne des Étudiants en Orthophonie) en tant que vice-présidente en charge de la représentation et de l’enseignement puis j’ai effectué un mandat de vice-présidente en charge de l’enseignement supérieur au sein de la FNEO (Fédération Nationale des Étudiants en Orthophonie) et j’ai poursuivi mon engagement à la FNEO en tant que présidente. Parallèlement à ces mandats qui concernent ma filière, j’ai pu être élue au conseil de faculté de médecine de novembre 2019 à novembre 2021 puis j’ai décidé de reprendre un mandat d’élue en novembre 2021.
Qu’est-ce qui vous a motivé pour être vice-doyenne ?
L’engagement étudiant est quelque chose qui me tient particulièrement à cœur. Je trouve ça très enrichissant de pouvoir s’engager pour les autres et pour être dans un dialogue et un travail constant avec les équipes de la faculté. C’est donc tout naturellement que lorsqu’on m’a proposé de prendre le poste de vice-doyenne étudiante, j’ai accepté afin d’aller plus loin dans cet engagement étudiant.
Quels sont vos projets et vos missions ?
Ils sont multiples. Pour en citer quelques uns, ce sera par exemple de continuer à dialoguer régulièrement avec la faculté et de pouvoir faire redescendre les informations aux étudiants. Les étudiants et étudiantes doivent être acteurs et actrices de leurs études et pour cela ils doivent être informés. J’aimerais aussi permettre aux formations moins intégrées à l’université de pouvoir avoir une interlocutrice qui pourra faire remonter leurs problématiques. Notre faculté est riche de filières et chaque étudiant et étudiante doit pouvoir dialoguer avec sa faculté. Enfin, je porterai une importance particulière à l’accès aux droits de tous et toutes ainsi qu'à la gestion des cas de violences qu’elles soient physiques ou mentales.